Le pays s’apprêtait à être envahi et dévasté.
La famine menaçait. La violence et l’injustice régnaient dans le pays. Tout cela était dû au fait que le peuple s’était éloigné de Dieu.
Habacuc avait toutes les raisons d’être au bord du désespoir.

Dieu contrôlait-il vraiment la situation ?

Le prophète passa par de terribles luttes et dut supporter une grande tension émotionnelle. Cependant, en fin de compte, il put faire jaillir ce grand cri de foi : « Je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut... L’Éternel, le Seigneur, est ma force. »

L’auteur David Martyn Lloyd-Jones a été, pendant de nombreuses années, pasteur de la Westminster Chapel, à Londres. Il a exercé un ministère puissant, par la prédication et par la plume.