En écrivant ces propos sincères sur le mensonge, une partie de moi espère secrètement que vous n’en croirez pas un mot. Un recoin de mon coeur préfèrerait que vous balayiez [cet exemple] d’un revers de la main et que vous décidiez plutôt de vous fier à mes références : éminent médecin et auteur reconnu. Souvenez-vous de mes titres et n’écoutez pas mes aveux.

Si cette image prestigieuse du docteur Diane Komp détermine votre jugement, vous interpréterez [mon anecdote] comme un saint exemple de fausse modestie.

Mais si vous ne pouvez croire qu’un médecin (ou un saint) dit toujours la vérité et si vous ne pouvez croire que vous faites toujours de même, vous nous amenez tous deux (auteur et lecteur) à la raison pour laquelle je devais écrire ce livre et pour laquelle vous le lisez en ce moment.