Car de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la Terre (Matthieu 12.41).
Si nous prêtons sérieusement attention à ce que Jésus nous relate, au sujet de sa mort, en faisant référence à Jonas par deux fois dans ce même évangile, nous devrions être interpellés par le fait suivant : il ne se déroule pas trois jours et trois nuits entre sa mort et sa résurrection ! Et même comme certains l’ont supposé, compter le vendredi comme premier jour, le samedi comme second jour, il nous manquerait une nuit, et une journée celles du Dimanche, puisque d’après la tradition Jésus serait ressuscité le matin du premier jour de la semaine (Dimanche). Le compte n’est pas bon.

Certains d’entre vous me diront : « On ne peut pas prendre le texte biblique à la lettre » ! Eh bien, si ce qui concerne les textes parlant de la mort et de la résurrection de Jésus ne peuvent être pris littéralement le Christianisme est une grosse farce ! Mais comme je suis convaincu du contraire malgré ce que la critique biblique du XXe siècle a fait comme dégâts, je persiste et je signe que la plupart des textes de la Bible sont à prendre littéralement sinon nous assistons à une floraison d’incompréhensions du texte révélé et transmis par Moïse et les prophètes d’Israël.

Jésus est bien mort en l’an 30 de notre ère pendant la Pâque juive mais celle-ci (la mort de Jésus) a eu lieu le Mercredi 5 Avril 30. Ouvrez ce livre en grand, laissez le Saint-Esprit vous convaincre, alors vous comprendrez que Dieu utilise un calendrier concernant non seulement la venue de son fils sur la terre, mais aussi la réalisation de sa volonté concernant Israël.