Les livres de Ruth et de Jonas ont au moins un point en commun en ce qu’ils nous présentent un Dieu qui aime au-delà de tout, un Dieu étonnant, paradoxal et hors-norme.

Ces deux livres insistent également sur le respect de l’étranger, non seulement comme être aimé de Dieu, mais plus encore comme membre effectif de la famille de Dieu. Dans une époque où le repli identitaire est souvent compris comme salutaire, la médiation de ces deux livres s’impose d’elle-même.

Prenons le temps de découvrir, redécouvrir, la beauté de la Parole qui tour à tour relève, guérit, interpelle, dérange.